« Quand l’Eglise et la République honorent Jeanne d’Arc : l’union sacrée ? » Conférence à Orléans vendredi 18 septembre 2020 au Musée des Beaux-Arts.

Avec les voix du Choeur de l’Oriflamme, sur le parvis dès 17h30

En une même conférence, des invités de marque évoqueront la sainte et l’héroïne nationale.
C’est le charisme de Jeanne d’Arc de réunir les factions opposées, dans un même amour de la France et de sa souveraineté.

2020 est pour Jeanne d’Arc un centenaire à double titre : canonisation par l’Eglise (16 mai 1920) et reconnaissance par la République comme héroïne nationale (loi du 24 juin 1920), toujours en vigueur.

Pourquoi l’Eglise a-t-elle attendu près de cinq siècles pour reconnaître la sainteté de Jeanne d’Arc ? Comment la République laïque en est arrivée à voter une loi qui institue une fête nationale en son honneur ?

Une chose est sûre : les orléanais peuvent être fiers. En effet, c’est à Orléans que le procès en canonisation a débuté en 1869, à l’initiative de Mgr Dupanloup son évêque.

Nos invités,
  – Monseigneur Le Tourneau : canoniste, chapelain de Sa Sainteté, auteur du  « Dictionnaire encyclopédique de Jeanne d’Arc », (co-écrit avec Pascal-Raphaël Ambrogi)
  – Monsieur Yves Avril :  fondateur de l’Association des Amis de Jeanne d’Arc et de Charles Péguy  
  – Maître Trémolet de Villers : avocat, auteur de « Jeanne d’Arc, le procès de Rouen »
mettront en lumière comment sainte Jeanne d’Arc a réussi l’union sacrée. Cent ans après, qu’en reste-t-il ?

Les échanges seront animés par Monsieur Hilaire de Crémiers, journaliste, conseiller éditorial de Politique Magazine.

Dédicaces à l’issue, libre participation aux frais.